Le survivalisme, ce courant de pensée catastrophiste, souvent teinté d’idées discutables idéologiquement, sur la nécessité absolue de se préparer à la catastrophe climatique qui nous guette, vous connaissez ? Les héros du dernier roman de l’écrivain Thomas Gunzig, oui ! Ils se sont préparés à tout. Ils sont riches, ils n’ont à se soucier de rien. Du tout. Ou presque...
Critiques littéraires, interviews : tout est là.
Il y a une tonalité particulière dans les nouvelles de Barry Graham, une verve, un style, une manière d’attaquer le sujet qui ne ressemblent à rien de ce que l’on a pu lire par ailleurs. Heureusement, sinon, les qualités littéraires de l’auteur seraient à interroger. Or celles de ce drôle de personnage qu’est Barry Graham, écrivain, ancien boxer, journaliste, moine bouddhiste, ne se questionnent pas.
Drôle d’association, la poésie et le travail forestier ? À la lecture du magnifie texte de l’autrice Anouk Lejczyk, elle semble toute naturelle. Plus que naturelle, évidente. Ni roman ni recueil, ce livre hybride dessine une réalité dure, marquée par la rudesse des éléments, et des conditions de travail parfois difficiles.
[INTERVIEW] Rosalie Stroesser : "Shiki parle de mon image idéalisée du Japon et de mes désillusions"
Quatre saisons, quatre épisodes dans la vie d’une jeune française qui s’envole pour le Japon sans avoir d’idée reçue sur ce qu’elle va y chercher. Rosalie y trouvera une certaine beauté, mais son voyage ne sera pas de tout repos, jalonné d’épisodes traumatiques et violents, sans pour autant occulter l’attrait de l'autrice pour ce pays.
Serait-ce fréquent, sur Bookalicious, de mettre en-avant des livres écrits par des femmes ? Comme Wendy Delorme, Emilie Talon, Nathalie Rouanet, Victoria Kielland, Ariella Aïsha Azoulay ? Oui !
"Plexiglas", d'Antoine Philias, c’est un roman qui parle des gens. Les gens, qui sont autour de nous, que nous sommes, un peu bancals avec nos habitudes, nos ratages, nos joies.
Une bien étrange novella est parue chez les excellentes et exigeantes éditions Marie Barbier : « Le Recueil des ossements », écrit par le taïwanais Wuhe, et traduit par Emmanuelle Péchenart, qui nous parle de son rapport à ce texte et à la traduction en général.
« Brûler, la nuit ». Un beau programme, qu’il soit poétique, militant, amoureux, ou un peu tout ça à la fois. Dans ce premier recueil de la poétesse Louise Giovannangeli, publié aux éditions L’Or des lignes, il est question d’amour, d’enfance, de rébellion, de féminisme, de construction, d’idéal.
Plus vivante que jamais, la poésie a su évoluer avec les époques, les enjeux et les tendances. Les mots deviennent une matière brute sous les plumes de jeunes et moins jeunes poète·sse·s, une argile façonnée au grès de leurs expériences, de leur regard singulier, de leurs trajet de vie.