Excellence, cheval, Italie, les trois mots-clé de ce roman ado où règne une ambiance poisseuse, alourdie par les non-dits et l’abus.
Pas toujours facile de créer ! Ces livres créatifs et inattendus fournissent un excellent terreau et une belle matière our lutter contre les pages blanches et le trac de l'artiste.
Comment écrire au quotidien - 365 ateliers d’écriture. Pierre MénardA vos stylos, poètes transis, écrivains tétanisés, plumitifs chétifs et autres procrastinateurs de l’écriture ! Ce livre-objet, manuel-précis de littérature multiplie les casquettes et les entrées.Méthode de travail littéraire, déjà, avec un exercice quotidien pour entraîner son cerveau et son style dans une optique de création littéraire. Anthologie de littérature française contemporaine, aussi, avec des extraits de textes en tous genres de 365 auteurs francophones. Recueil poétique, enfin, par son existence même et l’interrogation qu’il soulève sur le rapport à la création.Que l’on écrive ou non, on entre dans ces ateliers par le chemin universel de la littérature et de l’inspiration.Editions publie.net
La Faute aux photos Tome 82. Guillaume ChauvinPhotographe indépendant à l’humour caustique et absurde, Guillaume Chauvin livre ici 39 exercices et conseils aux apprentis photographes. On frôle le surréalisme, souvent, dans la forme, mais le fond incite à regarder le monde autrement, à sortir des clichés et des poncifs de l’univers de la photo.Peut importe que l’on sache ou non tenir un appareil photo, ce petit précis photographique et poétique appelle à changer le regard que l’on pose sur les situations, les gens, les objets. A laisser l’inattendu surgir, à le rechercher et l’entretenir. Reste à savoir ce que proposent les 81 autres tomes…Editions Allia
Le fond du port. Joseph Mitchell. Traduction de Lazare Bitoun Ce ne sont pas des articles, ce ne sont pas des portraits, ces 6 textes de Joseph Mitchell, ce sont des tableaux vivants, des petites oeuvres d’art ciselées qui n’ont plus rien à voir avec le terme «reportage». A ce niveau d’écriture, le journalisme devient un art où fiction et objectivité se mêlent librement. Joseph Mitchell, familier du Lower East Side de Manhattan, semble éprouver une tendresse infinie pour les gens qu’il décrit et fait parler, quel que soit leur profil. Son sens de l’observation adossé à sa maitrise éblouissante de la construction du récit élèvent ces récits au rang de chefs-d’oeuvre de la littérature sociale américaine. De la littérature du 20e siècle tout court, aussi. Le journalisme, c’était mieux avant !Editions du Sous-Sol