Excellence, cheval, Italie, les trois mots-clé de ce roman ado où règne une ambiance poisseuse, alourdie par les non-dits et l’abus.
- Taille : 390 pages
- Origine : Américaine
- Style : Doux-amer
- Alcool : régulièrement
- Tabac : de temps en temps
- Drogues : un petit pétard de temps en temps
Description
Don Carpenter raconte, avec un sens fulgurant du détail et de la mise en scène, la vie d’un groupe de jeunes écrivains à Portland. Ils sont une petite bande autour de Charles Monel, le grand amour de Jaime, et écrivain doué, et professeur. Autour du couple et de leur fille, Dick, Stan, Linda, Marty, ils écrivent, se séduisent, se tournent autour, se battent avec la Création, l’écriture, les publications, les agents.… Don Carpenter aime ses personnages, il éprouve une tendresse palpable et communicative pour eux qu’il nous décrit sans fausse pudeur ni périphrases.
Traits de caractère
Il est impossible de ne pas sourire sitôt les présentations faites. Tout simplement impossible de ne pas s’identifier à ces jeunes écrivains idéalistes et bourrés de doutes, à cette humanité fragile qui se dégage d’eux et enveloppe le lecteur, impossible de ne pas sourire devant leurs récits de nuits blanches d’angoisse, de ne pas frissonner devant leurs embrouilles sentimentales, leurs hauts et leurs bas, leurs désirs et leurs aspirations.
Qui je cherche
Toi, jeune ou apprenti écrivain, tu vas m’adorer ! Toi, la personne normale qui dois supporter la présence des deux premières catégories dans ton entourage, tu vas m’adorer ! Toi, le lecteur qui aimes Scott Fitzgerald, Fante et la Beat Génération, avec une bonne dose de cynisme et d’humour un peu grognon, tu vas m’adorer !
Mes mots-clés
Amour.Création.Aspirations.Dilemmes.Ecriture.Amis
Le mot de la fin
Il y a un esprit beat dans ce joyeux foutoir ou le romanesque et l’humain se disputent le devant de la scène. Bref, je suis incontournable !Un Dernier verre au Dernier bar sans nom de Don Carpenter - Traduit par Céline Leroy et édité par Jonathan LethemEditions Cambourakis