On ne pouvait pas ne pas en parler, de Diacritik. D’une part parce qu’on apprécie la qualité. Les qualités. Humaines, littéraires, professionnelles. Et d’autre part parce que quand un média de cette envergure naît à une époque où tous les repères se délitent, où les beuglements des moutons font office d’hymne national, il faut le…