On aime toujours autant les listes, et encore plus les listes thématiques. Et on aime énormément le rock, le vrai, les grosses guitares, les perfectos et les bières tièdes, baby. Et on trouve que rock et littérature font bon ménage, ça n’est plus à prouver depuis… …. … Très longtemps!
BONNES LECTURES !
About Rock, sex and cities de Henri Malliser & Denis Scheubel : Des textes courts, poésie en prose qui sent la sueur et les t-shirts sales, accompagnés de dessins tout aussi barrés, trash et urbains. L’essence même de l’esprit rock, il vous faut un dessin ? Editions Mediapop
Fêtes Sanglantes et Mauvais goût de Lester Bangs : Ce type est à vous dégoûter d’écrire. Que vous soyez journaliste ou écrivain, il fera mieux que vous, de toute façon. L’essence même du rock critic, c’est lui, le gonzo solide, c’est lui. La contre-culture, c’est lui. Maintenant, retournons tous nous coucher. Même sa cheville, c’est trop haut à atteindre! Editions Tristram
Je reprends la route demain de Patrick Eudeline : Patrick Eudeline, c’est un des rares rock critics encore en vie, et Français, de surcroît. De critique en critique, on se rend compte qu’écrire sur la musique, c’est un vrai métier. Et Patrick Eudeline est un excellent journaliste cultivé et piochant dans le gonzo avec raffinement. Editions Le Mot et le Reste
A la recherche de Daniel Darc de Pierre Mikaïloff : Ce livre n’a rien d’une bio soporifique et méthodique, bien ancrée sur des dates et des faits. C’est avant tout un roman, maillé d’entretiens avec un des derniers poètes français. Editions Le Castor Astral
A love Supreme de Daniel Darc : Daniel Darc écrivait des chansons, mais il écrivait aussi d’étranges textes, où sa pensée s’échappe, entre réflexion et culture, entre musique et poésie. Une autre façon de le découvrir qu’en écoutant “Chercher le Garçon”. Editions Derrière la Salle de Bains
Nightclubbing d’Alain Pacadis : Dandy dégénéré qui hantait de sa silhouette crade les banquettes du Palace, Pacadis incarne la folle décadence des années 80. A tel point qu’on pourrait oublier la finesse de son style, plus poétique et inspiré que trash et puant l’alcool. Editions Denoël