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[INTERVIEW] Laura Lutard: “la poésie m’a permis de faire exploser les cadres”

Posted on by BooKalicious

Son premier recueil “Au bord du bord” est publié aux éditions Bruno Doucey. Premier recueil discret et sensible d’une artiste connectée au monde, à son mouvement, comme un écho aux mouvements intérieurs. Interview en mode caméra embarquée, au plus près de son inspiration, suivie d’un poème inédit, offert par Laura Lutard aux lecteur·rice·s de Bookalicious !

©GautierBerr

Comment avez-vous commencé à écrire de la poésie ? 

Identifier mes écrits comme poésie coïncide avec mon entrée au Bordel de la Poésie de Paris. Le cadre était très clair: nous devions y lire nos poèmes. J’ai choisi, retravaillé et écrit de nouveaux textes dans cette perspective et à partir de ce moment, n’ai plus écrit que ça. C’est à dire qu’à partir de 2014, ma recherche s’est axée, s’est reconnue très consciemment, dans la poésie. Avant j’écrivais des pensées, des réflexions, de retranscriptions de situations vécues et parfois oui des poèmes, mais que j’appelais textes ou monologues. Venant du théâtre, cela devait me paraître plus approprié comme termes. Et n’étant véritablement destinés à personne, je ne ressentais pas le besoin d’y poser une définition. Je dirai même que mes tous premiers poèmes, plus ou moins ressentis comme tels, furent écrits comme matière textuelle à mes expérimentations cinématographiques. Mais si je creuse un peu encore, je peux remonter jusqu’au lycée. Je retrouve souvent sur mes copies d’école, des petites phrases que je trouvais très profondes (à l’époque) distillées dans les marges. Et il y avait aussi mon blog… où je posais des poèmes avec des dessins romantico-gothiques, trouvés sur internet, après avoir tapé en barre des recherches des mots comme « tristesse », « suicide », « falaise », « larmes ». Toute la panoplie de la gaité adolescente. Je crois que je l’ai supprimé, en tout cas je ne le retrouve plus, je ne crois pas que ce soit vraiment dommage…

Puis il y a cette phrase que ma mère me répétait régulièrement. Une phrase d’un de ses professeurs : « écrivez tous les jours, même si ce n’est que votre liste de courses ». Bien évidemment elle ne le faisait pas elle-même, comme beaucoup de conseils de parents, mais ça m’est resté et je n’en suis pas loin.L’écriture jalonne mon quotidien depuis que l’on m’a appris à tenir un stylo mais le fait d’assumer et de me reconnaître comme poétesse est venu il y a sept/huit ans. Et cela a tout changé, ouvert des voies incroyables, défini mon parcours d’artiste.

Je sais ce sur quoi je veux écrire et laisse venir.

Pourquoi de la poésie, en particulier  ? 

Je pourrais dire c’est le hasard, que c’est le fruit de la rencontre avec Le Bordel de la Poésie, mais ce ne serait pas tout à fait juste. Je crois que cette rencontre m’a simplement « autorisée à ».  Quelques mois auparavant, j’étais en pleine interrogation sur l’essence de ma recherche artistique: comédienne, interprète, réalisatrice, photographe, dramaturge… je testais des choses et ne comprenais pas le lien entre tout cela. Ou plutôt, je le comprenais très bien mais ne trouvais pas l’étiquette absolue qui me permettrait de le/me définir. En France les étiquettes sont importantes, surtout à 25 ans, et particulièrement dans la grande solitude dans laquelle j’évoluais, du fait de deuils et séparations lourdes. J’avais pour obligation de me donner un cap clair. Que je ne trouvais pas dans ce qui m’était proposé. Alors j’ai dit à un ami: peut-être que je suis poète. Et il a ri. Ça m’a vexée mais motivée… 

Ensuite est arrivé Le Bordel de la Poésie et j’ai compris que oui c’était par là. Parce que la poésie se passe volontiers de définitions, parce que je pouvais mettre dans mes écrits des propos et des styles très différents les uns des autres, passer d’un sujet à l’autre, de l’érotisme à la colère, d’une narration longue à une blague, que tout ça était si vaste que je ne pouvais qu’explorer encore et encore. Cet infini m’a plu (je pleure en l’écrivant) car ça a rouvert le champs des possibles dans un quotidien qui était sclérosé par des drames et des problématiques matérielles. J’étais vraiment dans la survie, la poésie m’a permis de prendre de l’air, de faire exploser tous les cadres et me dire que je pouvais inventer, que rien n’était ni fatal ni définitivement obligatoire. Ce ne fut pas une décision rationnelle que de commencer à en écrire, ce fut je crois la réponse évidente et douce pour maintenir le geste artistique, de manière autonome et affranchie de contraintes extérieures, dans une situation difficile. 

Qu’est-ce qui vous inspire, au quotidien, nourrit votre écriture ? 

La plupart du temps, je ne maitrise pas le premier mot, la première formule, ça apparaît et il me faut écrire sur le moment. Après je ne m’en souviens pas, ça disparaît comme c’est venu. Bien des poèmes n’ont jamais été écrits, flottent quelque part peut-être dans mon cloud intérieur. Ce qui fait émerger l’inspiration, à un instant précis, je ne peux pas l’expliquer avec la raison. C’est souvent lorsque je suis en mouvement, marche ou vélo, ou dans une émotion vive, la colère comme la fougue. En voyage aussi, beaucoup, j’emmagasine des images en marchant des heures et puis je me pose à une terrasse et déroule. Cependant maintenant j’ai un cadre. Je me donne une ligne, un thème qui vient accrocher une écorchure intime et des sujets collectifs qui me paraissent fondamentaux. Je sais ce sur quoi je veux écrire et laisse venir. Je vais beaucoup au théâtre, assiste autant que possible à des rencontres avec des artistes ou universitaires, lis des essais sociologiques, suis des groupes militants sur les réseaux: cela me permet d’apprendre, de me confronter à d’autres réalités que la mienne. Et d’avoir des clés de lecture du monde, par des personnes brillantes, qui me permettent de voir large et profond sur les mécanismes oppressifs qui structurent nos sociétés. Savoir d’où ils viennent et comment cela résonne dans nos quotidiens, quelles pistes suivre pour ne pas les reproduire. Je lis aussi beaucoup de poétesses contemporaines (et un peu de poètes) et vais régulièrement écouter des scènes slam. 

je me nourris de voix, de corps et d’expressions

J’essaye de rester branchée sur le pouls général, je me nourris de voix, de corps et d’expressions. J’ai besoin d’être connectée au vivant, à la présence, de laisser mes sens à l’affut d’un signal et de laisser venir ma transposition de ce que j’ingère. Avec un peu de distance et de dissociation pour maitriser le vertige. Que ce soit pour les luttes ou mon histoire familiale, n’importe quel sentiment qui serait trop vif, j’essaye de le voir avec l’œil de l’aigle. Cette pratique amérindienne m’a aidé de façon cruciale dans des moments très difficiles. J’essaye d’aborder l’écriture avec ce point de vue, dans cette polarité entre l’infiniment petit et le grand tout, portée sur l’invisible. Ce qui ne marche pas toujours… Il m’arrive d’avoir un besoin impératif que mon écriture soit arrimée au sol, très concrète. En écho direct avec une situation que je vis comme dangereuse ou profondément inacceptable. Tout dépend du propos, de ce qu’il y a à dire, c’est ce qui guide tout. 

Comment est né « le Bordel de la poésie » ? 

Le Bordel de la Poésie a été créé en 2008 à New-York par Stéphanie Berger et Nicholas Adamski, lors de leurs études en littérature. Il s’est ensuite développé à travers les États-Unis et dans des capitales européennes comme Barcelone, Londres, Reykjavik, Berlin ou encore Moscou. L’idée est de proposer un cadre festif, ludique, pour entendre de la poésie contemporaine. Chaque auteur·rice y lit ses propres textes, il y a donc aussi cette mise en lien directe entre l’artiste et l’auditoire. Les lectures se font en public et surtout dans un face à face intimiste. Nous avons des personnages, des costumes, les lieux sont décorés, cela donne une atmosphères très atemporelle et joyeuse. Le Bordel de la Poésie est arrivé à Paris en 2014, par la scène Spoken Word. En 2018, on m’a proposé d’en prendre la direction, puis Rim Battal et Zoé Besmond de Senneville ont pris le relai avant que nous la reprenions toutes les trois après le confinement.

On voit émerger de plus en plus de jeunes noms en poésie, quel regard portez-vous sur cet engouement ? 

Je ne me sens pas très légitime à parler de cela, c’est aussi nouveau pour moi. Je n’ai pas une vision très rétroactive. Évidemment j’en suis heureuse, une pratique est faite pour se renouveler. Plus il y a de jeunesse plus cela avance, même si bien sûr tout ce qui a été fait éclaire ce qui va advenir. Par adhésion ou au contraire en réaction opposée. Y a-t-il un engouement significatif ou celui-ci est-il simplement davantage mis en lumière aujourd’hui? Ce qui engendre désir et autorisation, et donc effusion, difficile à dire depuis ma position. Comme dans tout art, il y a des cycles. En tout cas, c’est très agréable de se sentir dans un mouvement général et de voir que des espaces de diffusion et d’écoute s’ouvrent. D’y œuvrer aussi et de voir que cela fonctionne. Pour autant nombre de personnes ont toujours été actives pour que la poésie contemporaine vive.  Il faut leur rendre honneur, l’attention portée aujourd’hui est le fruit de leur travail. Ce qui me ravit le plus, est que les thèmes développés dans les écritures sont très liés au monde actuel, à ces bouleversements. Des voix et des histoires qui n’avaient jusqu’ici que peu de place dans le paysage littéraire, ont réussi à remplir les failles, à émerger et c’est primordial. Étant donné la période que nous traversons, hautement mouvante, c’est logique que la jeunesse s’en empare pour livrer son point de vue sur ce qu’il va falloir détruire et construire. C’est une effusion passionnante et qui peut apporter beaucoup, surtout si cela se tourne d’ores et déjà vers la transmission aux générations suivantes.

Laura-Lutard-inedit

Retrouvez la chronique de “Au bord du bord” sur Booka !

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